Je te raconte mon plus beau projet... à Bali !

« Voyager, c’est naître et mourir à chaque instant. »
— Victor Hugo

Moi c’est Lou, 32 ans. Je suis née en Belgique. J’ai fait mes études à la Haute École Paul-Henri Spaak de Nivelles, où j’ai passé trois ans à me former pour devenir enseignante en éducation physique et sportive.
En effet, le sport a toujours eu une place importante dans ma vie, mais surtout auprès des animaux. Toute petite déjà, je passais mon temps avec les chevaux. L’équitation a été ma première passion, celle qui ne m’a jamais vraiment quittée. J’ai monté pendant des années, et le saut d’obstacle est vite devenu mon terrain de jeu de prédilection.

Néanmoins, ce que j’aimais par-dessus tout, ce n’était pas juste la performance ou les médailles, mais bien la relation avec l’animal, ce lien unique qu’on tisse avec un cheval. C’est là que j’ai appris la rigueur, parce qu’un cheval sent tout. J’ai aussi appris à écouter mon intuition : on ne peut pas tricher avec eux. Et j’ai surtout pu expérimenter ma première connexion... pure, presque invisible, mais incroyablement puissante ! La connexion à l’autre, à l’instant, à soi.

Après mes études, j’ai commencé à travailler dans une école spécialisée en Belgique. Je suis devenue enseignante en éducation physique auprès d’enfants autistes avec déficiences mentales profondes. Un métier pas toujours facile, mais incroyablement humain. Chaque jour, je faisais de mon mieux pour les aider dans leurs apprentissages. Quant à moi, ce métier m’a appris la patience et le lâcher-prise aussi. Cependant, au fil du temps j’ai senti que quelque chose en moi bougeait, comme si une autre partie de moi demandait à exister.

Ensuite la vie m’a un peu bousculée. Deux ruptures assez douloureuses, coup sur coup : j’étais perdue... Je voyais mes 30 ans arriver comme un deadline : pas mariée, pas d’enfants, et je venais de vendre ma maison... J’avais l’impression d’avoir coché aucune des cases que la société attend de nous à cet âge-là. J’avais suivi un chemin “classique”, droit, sécurisant. Cependant, il ne me ressemblait plus. À force de me perdre dans ce qu’on attendait de moi, j’ai senti qu’il était temps de partir. Pas pour fuir, mais pour me retrouver.

Alors j’ai commencé à voyager. J’avais besoin de me reconnecter, de me recentrer. Je suis donc partie voir ma famille aux États-Unis, en Floride puis en Californie. J’ai pris le temps, de respirer, d’observer le monde autrement.
Un jour est venu, un déclic, une intuition. Vous savez ce sentiment très fort qui vous dit : « Tu dois aller là-bas, tu dois aller à Bali. » Je ne savais pas ce que j’allais y trouver, mais je sentais que je ne pouvais pas ignorer cet appel. J’ai donc pris un billet, sans trop comprendre pourquoi. Avec cette certitude intérieure qu’il se passerait quelque chose... là-bas !

À cet instant, tout a changé.

Je suis tombée amoureuse de cette île. De ses paysages, de sa douceur, de ses gens, de sa philosophie et de sa culture. Petit à petit, j’ai tissé des liens. J’y ai rencontré des personnes incroyables qui sont devenues des amis. J’ai commencé à apprendre l’indonésien. Surtout, j’ai réalisé à quel point cette destination restait peu connue des Belges. Autour de moi, on me bombardait de questions : “Tu fais quoi là-bas ? Tu vas où ? Tu recommandes quoi ?” Et c’est là que le projet est né. J’avais une expérience à transmettre, des pierres sur ton chemin de vie à poser.

BALIBYLOU, un projet qui me ressemble. À mi-chemin entre le carnet de voyage, le guide de bons plans et le coup de cœur intime. Un accompagnement personnalisé, à ma façon, pour aider d’autres personnes à découvrir cette île autrement. Loin des clichés, loin du tourisme de masse.

BALIBYLOU, c’est moi, version voyage.
C’est de l’authenticité, pas de filtre, pas de triche. C’est du respect, pour la culture balinaise, les traditions, les locaux. C’est du partage, mes contacts, mes expériences, mes conseils, mes coups de cœur.

Ce que je veux transmettre à travers BALIBYLOU, ce n’est pas juste un beau voyage. C’est une expérience qui te fait ressentir l’Essentiel. Une émotion, une étincelle, une ouverture. Tu arrives comme tu es et tu repars avec une intime différence, si difficile à définir car propre à chacun. Néanmoins, ce que je sais, c’est que Bali te touchera d’une manière ou d’une autre.

Si tu me lis aujourd’hui, c’est que toi aussi tu cherches un ailleurs. Peut-être une reconnexion à toi. Une claque d’inspiration. Un nouveau départ.

Et si c’était le moment de t’écouter, enfin ?

Bienvenue dans mon monde. Bienvenue dans le tien, peut-être.

Bienvenue chez BALIBYLOU.

Lou